Donner au Bleuet de France, c'est aider ceux qui restent.

Mis à jour le 13/12/2023
Le bleuet de France, portez la fleur solidaire
La Première Guerre mondiale, par sa violence et sa durée, est dévastatrice. Elle fait 10 millions de morts et plus de 20 millions de blessés, dont certains, lourdement handicapés, ne peuvent plus travailler. Dès lors, une mobilisation citoyenne se met en place en faveur d’une reconstruction matérielle, économique, et surtout humaine.

Bleuet de France : donner
Les fleurs de Bleuet pour soutenir les anciens combattants, les victimes de guerre et d'attentat, et leurs proches.

Depuis, des campagnes d’appel aux dons ont lieu chaque 8 mai et 11 novembre en France, en Outre-mer, et à l’étranger. En 1991, l’association du Bleuet de France devient l’Œuvre nationale du Bleuet de France. L’ONACVG la prend alors sous son aile et en assure depuis sa gestion et sa présidence.

Cent ans après sa création, sa vocation perdure.

Son champ d’intervention ne se limite plus aux soldats blessés lors des deux guerres mondiales mais prend en compte l’ensemble des conflits, des victimes de guerre aux pupilles de la Nation et aux victimes d’actes de terrorisme.

Le bleuet est le symbole choisi pour illustrer la solidarité envers le monde combattant pour plusieurs raisons.

  • Il rappelle l’uniforme bleu horizon que les jeunes recrues, les "Bleuets", portaient en rejoignant leurs aînés, les "Poilus", sur les champs de bataille.
  • Le bleuet est reconnu comme la fleur française du souvenir, celle qui poussait dans la boue des tranchées, seule note colorée dans un paysage dévasté avec le coquelicot.
  • Enfin, le bleu est également une des couleurs de la Nation française, première couleur du drapeau tricolore.

Aider ceux qui restent

  • blessés de guerre,
  • pupilles de la Nation,
  • victimes d'aide de terrorisme, 
  • associations citoyennes
  • veuves et veufs de guerre

Faire un don sur www.bleuetdefrance.fr

Bleuet de France : infirmière

En 1925, Charlotte Malleterre, fille du commandant de l’Hôtel national des Invalides et Suzanne Lenhardt, infirmière major, créent un atelier à l’Institution nationale des Invalides (INI). Les pensionnaires y confectionnent des bleuets en tissu qu’ils vendent sur la voie publique, un moyen de leur fournir une occupation et une source de revenus.